Au premier semestre 1974, parmi cette production Z, on y trouve : La brute et la perverse (janvier), les week-ends de Casanova (janvier), Love Party house (février), Rapports intimes au collège de jeunes filles (février), La Vorace (mars), Le journal érotique d'un bûcheron (mars), Quand les filles se déchaînent (mars), Ce que les étudiantes ne racontent pas (avril), Les caresseuses (mai) et Les enjambées (juin).
Le succès fut immédiat.
|
Le succès d’Emmanuelle s’étant transformé en phénomène de société, ce film et ses avatars quittaient aux yeux du grand public l’indexation de film érotique pour intégrer une autre indexation acceptable : films de Just Jaeckin, érotique chic grand public, phénomène de société … Ainsi le spectateur pouvait-il garder une cohérence quant à sa morale : il continuait à maintenir son goût initial défavorable au cinéma immoral tout en affirmant un nouveau goût pour une production cinématographique plus précise. Il y a bien alors une évolution des préférences de second niveau par application d’une stratégie consistant à ajuster un critère d’expérience pour distinguer des films entre eux sur la base de sous-index. Dans le cas présent, les films érotiques ont vu leur niveau de préférence augmenter par différence avec la production pornographique.