- " le public va-t-il aimer Toni Erdmann, ce film que le Jury de Cannes a boudé ?" (The Huffpost post)
- "Toni Erdmann, le film qui méritait la Palme d'Or" (Le Parisien)
- "Malgré un accueil triomphal à Cannes, cette comédie allemande sur les relations père-fille est repartie bredouille." (L'Express)
- " Chouchou du dernier Festival de Cannes mais oublié du palmarès officiel, ce très beau film sensible et loufoque mérite une réelle attention" (La Croix)
- "Une Palme d'or à la fois drôle et émouvante ? Vous n'y pensez pas ! C'est peut ce que s'est dit le jury du 69e Festival de Cannes." (Metronews)
Sept jours où les journalistes ont pensé avoir trouvé le vainqueur. Le Figaro ne titrait-il pas son article sur le film d'un "pour l'instant, c'est la Palme du Festival de Cannes" le lendemain de la projection ? Et comme -presque- tout le monde a adoré le film de Maren Ade, chacun était trop heureux de voir l'un de ses chouchous en tête des pronostics. Et le jeu des pronostics à Cannes, c'est le passe-temps préféré des journalistes pendant la quinzaine cannoise.
C'est en plus un film qu'il est bon de pouvoir aimer. C'est une comédie vraiment drôle et pourtant qui évite facialement toutes les facilités que les critiques reprochent habituellement au cinéma populaire comique. Et pour être sûr qu'on accusera pas ses fans de tomber dans la facilité, il y a deux caractéristiques pour faire fuir spontanément le grand public : c'est un film allemand et ça dure 2h42. C'est d'ailleurs le thème de l'édito de Eric Libiot dans le mensuel Première : |