- Une première qui débute avant même le tournage d’un film, à partir de l’idée de base et du découpage qui en découle.
- Une seconde qui se développe durant le tournage avec la prise de vue et ses différents impératifs.
- Une troisième qui se perpétue devant ce qu’on appelle une « table de montage », soit le montage dans sa phase technique.
- Une dernière phase qui trouve son aboutissement lors de la confrontation de l’objet filmique au spectateur dans une salle de cinéma ou devant son téléviseur, soit la projection conditionnante
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L'application Pryint propose de prendre une photo, de l'imprimer et de la rendre "vivante" en réalité augmentée lorsqu'on observe la même photographie via un smartphone. Ça permet de visualiser de courte séquence rappelant le "live photo" d'Apple et surtout les images animées d'Harry Potter.
L'effet wahou est garanti la première fois. |
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Kevin Burg et Jamie Beck proposent quelques exemples de grande qualité sur leur bien nommé site cinematographs, dont les deux séries ci-dessous.
[1] - La description de ces quatre phases est extraites de la thèse de doctorat en Études cinématographiques et audiovisuelles de Elie Yazbek : " Montage et idéologie dans le cinéma américain contemporain" (sous la direction de Jean-Loup Bourget - Paris 3)
[2] - On retrouve le même effet dans Sauve qui peu (la vie) de Jean-Luc Godard sur une femme à vélo dans la campagne.
[3] - Rappelons ici la citation certes jolie, mais restrictive, de Jean-Luc Godard : "La photographie, c'est la vérité et le cinéma, c'est vingt-quatre fois la vérité par seconde" (tiré d'un dialogue du Petit soldat).