Le sujet ressemble à un documentaire qui frôle juste un peu l'ambiance des amphi de fac. Rien à dire coté interprétation mais payer pour voir un sujet digne d'un téléfilm ou d'un documentaire non, le cinéma est devenu un luxe auquel ce film n'appartient pas. (Francis L. - Allocine.fr)
Les acteurs sont bons, l’atmosphère est crédible, la réalisation est honorable, c’est juste qu’on a payé pour un reportage télé du journal de 13H. (Rolling! - Allocine.fr)
Plus un docu-fiction qu'une comédie dramatique. (Olivier C. - Allociné.fr)
Je viens de voir Première année Ca ma mis un petit coup de pression, et remotiver pour le concours (@germainlb sur Twitter)
Message à tous les #paces : ne surtout pas aller voir le film #premiereannée, il démoralise ouf ... (@PrgMelissa sur Twitter)
- Les amphithéâtres ne sont plus aussi en surnombre grâce à la retransmission des cours que l'on peut suivre dans pas mal d'université via internet (encore que cela doit arriver dans certaines universités lors de la première semaine) ;
- Les débordements réguliers et qui ont donné lieu à des excès, mais qui sont désormais mieux encadrés ;
- L'affectation des filières (médecine, dentiste, kiné ...) avec un appel des étudiants un par uns dans l'ordre du classement.
Bien qu’usant d’éléments anachroniques concernant l’enjeu central des étudiants en P1 (première année), à savoir l’attribution de leur spécialité professionnelle, Lilti se sert de cela pour signer une histoire générationnelle et romanesque de deux types d’étudiants auxquelles chacun pourrait s’y retrouver (Les brouillons du cinéma) |
Du coup le film ressemble plus à un amalgame de scènes dans l'ordre chronologique plutôt qu'une véritable histoire. C'est un peu dommage.
Je remarque d'ailleurs que les scènes qui rompent cette monotonie sont tirés des souvenirs de l'auteur et n'existent plus tellement dans les facs aujourd'hui. L'amphi de fin d'année ou chacun annonce un par un ses voeux n'existe plus, les batailles pour les places en amphi sont bien moins féroces depuis que les cours sont retransmis sur internet et le bordel fait par les doublants est maintenant relativement encadré. (TheoC sur Sens Critique)
Le film est tellement pas réaliste !!! Ma sœur est PACES à Descartes aussi et c'est pas ça quoi ... (@DobrevoBiebs sur Twitter)
Ils ont de la chance, dans le film les P2 ne viennent déranger que pendant le tutorat, aucun prof n'est humilié par les étudiants. (@LaQuincampoise sur Twitter)
{1] A lire l'approche d'Emmanuel Ethis et Damien Malinas sur le traitement de l'université dans les films de campus (Ed. Armand Colin)