Davis, joué par Jake Gyllenhaal, est ce qu'on appelle un personnage dynamique. Il est évolue dans le film. Et on comprend la symbolique affirmé assez tôt qu'il faut déconstruire pour reconstruire. On en finit donc par attendre cette seconde phase de reconstruction. En tout cas, c'est ce que le public attend et appréciera comme le montre un accueil chaleureux des spectateurs : 7,5 / 10 sur IMDb quelque soit l'âge et 4 / 5 chez les spectateurs d'Allociné.
Dans sa première partie, son film baigne avec bonheur dans le même flou artistique que la vie de son personnage central. Puis, hélas, son récit rentre dans les clous. (Studio Ciné Live)
On aurait aimé que le film assume jusqu’au bout son regard cynique sur notre société. (Le journal du dimanche)
Bryan Sipe, l’auteur d’un scénario en partie autobiographique, ne peut s’empêcher de faire machine arrière au dernier moment. Comme s’il était effrayé de sa propre audace, il démolit tout ce qu’il a patiemment et habilement construit avec un happy end sirupeux et pataud. (Figaroscope)
Vallée aime les personnages flippés, mais il ne va jamais jusqu’au bout de ses pulsions libertaires. (L'Humanité)
Le film est une ode à la joie, j'en suis sorti libéré. J'ai pleuré et je me suis libéré de beaucoup d'angoisses en même temps que les personnages, film magnifique à voir. (Noé G)